Un homme dit : Un an que j'aime la poésie Un an que que je ris et pleure de bonheur Un an que j'aime la vie Un an que je n'irrite plus ma mie Un an que je ne meure plus plié dans mon lit Et moi, répond une femme : Un an que j'écoute tes poésies Un an que je regarde la pie chanter la si si Un an que je lis tes malices pleines de délices Un an que cet iris fleurit devant le maïs qui devient lisse comme le Lys En fait répondent des enfants en coeur : Un an que nous entendons tous les jours tes poésies pleines d'humour Qui sont aussi lourdes d'amour Que la tour de Noor Alors à l'orphelinat Pierre a retrouvé sa Tata Mickael, sa maman et Lhala, son papa Et tout cela C'est grâce à toi Car cet amour les a fait réfléchir à l'abandon de ces enfants Qui ne demandaient Rien moins que des parents
Colombine Administrateur
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