La pilule contraceptive est en train de tuer les femmes, mais personne ne dit mot
16 Juin 2015, 10:08am
Publié par Le Nouveau Paradigme
Par STOPP.org - traduit par Campagne Québec-Vie
La nouvelle mariée risquait un évanouissement, un AVC (accident vasculaire cérébral), une crise cardiaque et la mort chaque jour quand elle prenait sa pilule contraceptive. Tragiquement, elle n’avait aucune idée qu'il pouvait y avoir un danger. Même le personnel médical pensait que ses symptômes ne représentaient pas une menace, et à plus d’une reprise, ceux-ci ont mis ses symptômes sur le compte de la déshydratation. Ils ne lui ont jamais dit que ce pouvait être son mode de contraception qui lui causait des caillots sanguins.
Son nom était Kate, une femme d’affaires âgée de 28 ans, dont l’histoire est racontée dans « What Every Woman Needs to Know about Blood Clots », («Ce que toute femme devrait savoir sur les caillots sanguins») publiée sur le site web National Blood Clot Alliance “Stop the Clot”. Les symptômes de Kate commencèrent lors de sa lune de miel à Hawaï. Elle ressentait tellement de douleur au niveau de son mollet, qu’elle se réveillait la nuit. Elle alla voir un chirurgien orthopédiste qui lui fit passer des scans, ne trouva aucun problème et la renvoya chez elle. Elle oublia cela. Sept mois après, elle s’évanouit dans un aéroport après un vol. Le personnel médical dit qu’elle était déshydratée.
Sans le savoir, Kate développa une thrombose veineuse profonde dans son mollet. De là, des caillots sanguins commencèrent à se détacher pour se diriger vers ses poumons. Ces caillots dans les poumons, appelés embolie pulmonaire, « peuvent mettre la vie en danger et dans 10 à 15 pour cent des cas, causer une mort instantanée », d’après le docteur Jack Ansell. Ce dernier est un hématologue et un membre du “National Blood Clot Alliance’s Medical & Scientific Advisory Board”. Le site web de l’Alliance cite le docteur Ansell: « Le premier signe d’une embolie pulmonaire peut être la mort ».
Grâce à la mère de Kate, qui est infirmière et qui fit la suggestion que sa fille pourrait peut-être souffrir d’embolie pulmonaire, Kate reçut un traitement et échappa à la mort. On découvrit l’embolie avant qu’elle ne tue Kate. Plusieurs autres femmes ne sont pas aussi chanceuses. Elles n’apprennent la vérité que lorsqu’il est trop tard.
La vérité est que le « risque d’une thrombose chez les patientes qui prennent des COC (contraceptifs oraux combinés) est de trois à cinq fois plus élevé par rapport à des personnes qui n’en consomment pas. » Une thrombose signifie des caillots sanguins qui peuvent causer un AVC, une crise cardiaque, la cécité, un dommage au cerveau, et la mort. Pourtant, les femmes ne sont pas prévenues du risque des caillots sanguins suite à la prise quotidienne de la pilule contraceptive. C'est grave et c'est une malhonnêteté et une négligence insensées.
D’après un rapport de « Canadian Broadcasting Company (CBC) » datant de juin 2013, le fabricant de pilules contraceptives Bayer a payé plus d'un milliard de dollars en guise de compensation pour des milliers de poursuites judiciaires sur ces pilules contraceptives aux États-Unis. Ces paiements étaient tous reliés à deux pilules contraceptives à faible dose, Yaz et Yasmin. Au même moment, une enquête de CBC a révélé que des pharmaciens ont soupçonné que la mort de 23 Canadiennes était attribuable à ces mêmes pilules.
Miranda Scott, âgée de 18 ans, s’entraînait au gymnase de l’Université de Colombie-Britannique lorsqu’elle est tombée à la renverse et est décédée. L’autopsie a montré qu’elle était morte à cause de caillots sanguins présents dans son corps. Elle prenait du Yasmin au temps de sa mort. Sa mère fait maintenant partie d’une poursuite canadienne en recours collectif contre le fabricant de médicaments, avec des centaines de membres de familles et de femmes qui ont été blessées ou tuées par la pilule.
Pourtant, alors que Bayer paie d'énormes dédommagements, la compagnie dit que ses produits contraceptifs sont recommandables. Même Elizabeth Kissling, qui écrit pour le magazine féministe radical Ms, se dit troublée par ce camouflage de la vérité, le manque d’éducation et l'insuffisance de tests que les femmes reçoivent avant de se faire prescrire la pilule.
Kissling dit en citant des cas de jeunes femmes ayant subi ces conséquences :« Aujourd’hui… de jeunes femmes meurent encore de quelque chose censé les aider, quelque chose qui touche surtout les femmes. Des milliers d’autres souffrent d’effets secondaires pouvant mettre la vie en danger ou détruire la santé comme la cécité, la dépression, et l’embolie pulmonaire. »
Elle fait référence au témoignage d’une utilisatrice, publié sur xojane.com, et met en évidence la citation frappante venant d’une jeune femme ayant presque succombé d’une embolie pulmonaire causée par la pilule contraceptive. « N’est-ce pas bizarre? », demanda la jeune femme aux docteurs de l’hôpital. Ils hochèrent la tête puis m’informèrent qu’ils rencontraient régulièrement de jeunes femmes en santé avec des caillots sanguins, presque tous issus du contrôle des naissances ».
La pilule détruit la vérité. Elle existe et est prescrite aux femmes au milieu d'un tourbillon de chaos, au milieu de contradictions et de mensonges, avec des cas de femmes mortes, aveugles et profondément blessées. Les médecins prescripteurs disent aux femmes que le contrôle des naissances est sans danger pour leur santé, à condition qu’elles ne fument pas. Les médecins présents dans les salles d’urgence racontent aux femmes qu’ils « rencontrent fréquemment de jeunes femmes en santé avec des caillots sanguins, presque tous issus du contrôle des naissances ». Des milliards de dollars sont payés par les compagnies pharmaceutiques pour régler des poursuites légales, alors qu’ils disent toujours approuver leurs pilules contraceptives.
Les femmes ont besoin de savoir.
Pour plus d’information, visitez le site web, thepillkills.org.