Colombine
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 |  Sujet: Les Anciens transitaient le monde entier grâce à une technologie de pointe  Jeu 30 Mar - 14:44 | |
| Les Anciens transitaient le monde entier grâce à une technologie de pointe Diverses cartes anciennes découvertes au fil du temps révèlent une réalité légèrement différente de celle à laquelle nous sommes habitués, la découverte la plus étonnante étant le continent de l’Antarctique, cartographié par les anciens à une époque où cette masse continentale la plus au sud était libre de glace.Depuis leur naissance, les gens sont câblés pour adhérer à une réalité dogmatique et à une vision étroite du monde. Au fil du temps, des preuves contredisant ce paradigme sont portées à notre attention, et nous adaptons rapidement notre façon de penser à une image plus large qui ne semble pas être encadrée, ni reconnue par la compréhension moderne.L’un des exemples les plus substantiels est celui des anciens marins qui étaient apparemment capables de traverser la planète d’un pôle à l’autre.Ces personnes avaient des connaissances avancées dans de nombreux domaines, et étaient capables de produire des cartes précises du monde en utilisant un instrument de navigation pour déterminer avec précision les longitudes qui était au-delà de tout ce que possédaient les personnes antiques, médiévales ou modernes jusqu’au 18ème siècle.En raison de ces preuves qui ne peuvent en aucun cas être entravées ou réfutées, nous pouvons supposer qu’une civilisation oubliée depuis longtemps a prospéré sur cette terre en des temps reculés. Les preuves s’accumulent dans ce sens, et ceux qui rejettent cette hypothèse comme un simple mythe devront bientôt repenser et redessiner tout le concept de l’histoire humaine.Parmi les nombreuses pièces qui contredisent le paradigme, on trouve la carte d’Oronteus Finaeus. Publiée en 1531, elle montre l’Antarctique libre de glace, ainsi que des représentations précises des rivières, des vallées, des côtes et l’emplacement approximatif du pôle sud. Elle donne également les coordonnées longitudinales appropriées.N’oubliez pas que l’Antarctique a été à peine découvert (du moins selon les normes modernes) en 1773, après que le capitaine James Cook et son équipage aient atteint les îles du cercle polaire antarctique, mais que personne n’a posé le pied sur la masse continentale réelle avant l’expédition norvégienne de 1911.Carte dessinée en 1531 par Oronteus Finaeus / Antarctique à droite sans traces de glace et relief définiCela peut signifier deux choses. Soit la carte présentée est un faux élaboré, et comme vous allez le voir cela est hors de question, soit les êtres humains redécouvrent une fois de plus une terre et des connaissances qui étaient autrefois perdues dans l’infamie du temps.Cela vient s’ajouter à un plus grand nombre de preuves « controversées » qui suggèrent la même chose : l’existence d’une civilisation avancée avant ou pendant la dernière période glaciaire.La mappemonde mise en évidence a été dessinée par Oronteus Finaeus en 1531. Elle compile diverses cartes sources qui ont pu être extraites de la grande bibliothèque d’Alexandrie pendant le siège impitoyable de l’Égypte.Ces sources provenaient d’un peuple inconnu qui aurait transmis les informations d’une génération à l’autre. Les cartographes égyptiens qui ont étudié ces informations ont réalisé diverses cartes qui ont été transférées à Constantinople et dans d’autres centres culturels après le siège d’Alexandrie.Les cartes y ont été conservées jusqu’en 1204, date à laquelle, pendant la quatrième croisade, les Vénitiens ont assiégé Constantinopole et de nombreuses ressources précieuses sont tombées entre leurs mains. Depuis lors, les cartes ont été mises en circulation car elles montraient des régions jamais atteintes auparavant, comme les Amériques, les mers arctiques et antarctiques.Charles Hapgood, un éminent écrivain et professeur américain, est tombé sur cette carte intrigante au cours de ses études dans les années 90. Après avoir consacré beaucoup de temps à l’analyser, il est parvenu aux conclusions susmentionnées.Bien que la communauté scientifique ne soit pas d’accord avec ses découvertes qui bouleversent le paradigme, il a poursuivi ses recherches qui ont finalement abouti aux résultats escomptés. Voici un extrait de son travail sur la carte d’Oronteus Finaeus.« La forme générale du continent ressemblait étonnamment au contour du continent sur notre carte moderne. La position du pôle Sud, presque au centre du continent, semblait à peu près correcte. Les chaînes de montagnes qui longeaient les côtes suggéraient les nombreuses chaînes de montagnes qui ont été découvertes en Antarctique ces dernières années. »L’Antarctique semblait très hospitalier dans son lointain passé.« Il était également évident qu’il ne s’agissait pas d’une création bâclée issue de l’imagination de quelqu’un. Les chaînes de montagnes sont individualisées, certaines sont côtières, d’autres non.« De la plupart d’entre elles, on voyait des rivières se jeter dans la mer, suivant dans tous les cas des schémas de drainage qui semblaient très naturels et très convaincants. Cela suggère, bien sûr, que les côtes étaient peut-être libres de glace lorsque la carte originale a été dessinée. »En 1960, le professeur Hapgood a remis ses conclusions à l’US Air Force qui a effectué une analyse approfondie de la carte d’Oronteus Finaeus et de la carte de Piri Rei de l’Amiral turc.En 1961, il reçoit une réponse qui lui fait plaisir et confirme ses convictions, bien que les conceptions enracinées de la communauté scientifique restent inchangées.Néanmoins, l’idée d’une civilisation « moderne » qui existait avant notre époque s’est transformée en un pilier solide, difficile, voire impossible à briser.La transcription ci-dessous, reçue par le professeur Hapgood de la part de l’équipe d’investigation de l’US Air Force, représente le point culminant de cette enquête en raison de son caractère officiel.–8E ESCADRON TECHNIQUE DE RECONNAISSANCE – (SAC)
UNITED STATES AIR FORCE
Base aérienne de Westover, Mass.14 août 61M. Charles H. Hapgood
Collège des enseignants de Keene
Keene, N.H.Cher professeur Hapgood :Il est rare que nous ayons l’occasion d’évaluer des cartes d’origine ancienne. Les cartes de Piri Reis (1513) et d’Oronteus Fineaus [sic] (1531) que vous nous avez envoyées représentaient un défi de taille, car il était difficilement concevable qu’elles puissent être aussi précises sans être falsifiées. C’est avec enthousiasme que nous avons relevé ce défi et que nous avons consacré de nombreuses heures de repos à l’évaluation de votre manuscrit et des cartes susmentionnées.Je suis sûr que vous serez heureux d’apprendre que nous avons conclu que ces deux cartes ont été compilées à partir de cartes sources originales précises, indépendamment des dates. Voici un bref résumé de nos conclusions :A. La solution de la projection portolano utilisée par l’amiral Piri Reis, développée par votre classe d’anthropologie, doit être très proche de la réalité ; en effet, lorsque des emplacements géographiques connus sont vérifiés par rapport à la grille calculée par M. Richard W. Strachan (MIT), la concordance est remarquablement étroite.L’utilisation par Piri Reis de la projection portolano (centrée sur Syène, Egypte) était un excellent choix, car il s’agit d’une surface développable qui permet de conserver la taille et la forme relatives de la terre (à cette latitude). Nous sommes d’avis que ceux qui ont compilé la carte originale avaient une excellente connaissance des continents couverts par cette carte.B. Comme l’a indiqué le colonel Harold Z. Ohlmeyer dans la lettre qu’il vous a adressée (le 6 juillet 1960), la côte Princesse Martha de la Reine Maud Laud, en Antarctique, semble être véritablement représentée sur le secteur sud de la carte Piri Reis.La concordance de la carte de Piri Reis avec le profil sismique de cette région réalisé par l’expédition norvégienne-britannique-suédoise de 1949, appuyée par votre solution de la grille, place au-delà de tout doute raisonnable la conclusion que les cartes sources originales ont dû être réalisées avant que la calotte glaciaire antarctique actuelle ne recouvre les côtes de la Terre de la Reine Maud.C. Nous sommes d’avis que l’exactitude des caractéristiques cartographiques de la carte d’Oronteus Fineaus [sic] (1531) suggère, sans l’ombre d’un doute, qu’elle a également été compilée à partir de cartes sources précises de l’Antarctique, mais dans ce cas, de l’ensemble du continent.Un examen attentif a prouvé que les cartes sources originales ont dû être compilées à une époque où la masse terrestre et les voies navigables intérieures du continent étaient relativement libres de glace. Cette conclusion est étayée par une comparaison de la carte Oronteus Fineaus [sic] avec les résultats obtenus par les équipes de l’Année géophysique internationale dans leurs mesures de la topographie sous-glaciaire.Cette comparaison suggère également que les cartes sources originales (compilées dans une lointaine antiquité) ont été préparées lorsque l’Antarctique était vraisemblablement libre de glace. La projection cordiforme utilisée par Oronteus Fineaus [sic] suggère l’utilisation de mathématiques avancées. De plus, la forme donnée au continent antarctique suggère la possibilité, sinon la probabilité, que les cartes sources originales aient été compilées sur une projection de type stéréographique ou gnomique (impliquant l’utilisation de la trigonométrie sphérique).D. Nous sommes convaincus que les découvertes faites par vous et vos associés sont valables, et qu’elles soulèvent des questions extrêmement importantes touchant à la géologie et à l’histoire ancienne, questions qui nécessitent certainement des investigations supplémentaires.Nous vous remercions de nous avoir donné l’occasion de participer à l’étude de ces cartes. Les officiers et aviateurs suivants ont offert leur temps pour aider le capitaine Lorenzo W. Burroughs dans cette évaluation : Capitaine Richard E. Covault, CWO Howard D. Minor, MSgt Clifton M. Dover, MSgt David C. Carter, TSgt James H. Hood, SSgt James L. Carroll, et A1C Don R. Vance.LORENZO W. BURROUGHS
Capitaine, USAF
Chef de la section cartographique
8th Reconnaissance Technical Sqdn (SAC)
Base aérienne de Westover (Massachusetts)–La transcription ci-dessus n’est pas le seul élément de preuve officiel recueilli à l’appui de ses affirmations. Le professeur Hapgood a reçu d’autres lettres fascinantes du MIT et de l’université de Cambridge, ainsi que d’autres correspondances entre l’ambassade de Turquie et le département d’État américain.Les cartes anciennes et mystérieuses sont présentées dans son livre écrit en 1966 – Maps of the Ancient Sea Kings. |
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